Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hervé Bizeul "goûte" Jean-Marc Quarin goûtant Walden...

Du rôle du critique, de son pouvoir, de celui qu'il aimerait avoir sur le vigneron...

De la volonté du vigneron, de son pouvoir, de celui qu'il a sur le critique...

C'est ici que ça se passe!

En ce qui me concerne, et pour l'instant, jusqu'à preuve du contraire, je préfère les vins de vigneron aux vins de critique!

Olif, dans une forme qu'il espère aussi olympique, boosté par les médailles de ses compatriotes haut-doubiens aux JO de Turin!

Commentaires

  • Olivier,

    Hervé Bizeul a tout à fait raison. La première chose concernant un vin qu'on déguste, c'est de savoir si on l'aime ou non avec ses defauts eventuels. hier, j'ai bu un vin sans fard ni trucage une cuvée jadis 2001 de didier Barral. J'ai beuacoup aimé sans besoin de descriptions précises ni décortication de ce vin ( quand même, quel nez ... et quelle plaisir en bouche). Vives les vins sans fards quit à ce qu'ils ressemblent à une bonne paysanne du haut doubs.... euh du languedoc. Comme dirait notre ami américain à bas les bordeaux pommadés. François B.

  • Francois,
    Ce n'est pas vraiment exact car JM Quarin met une note à ce vin, nous ne pouvons donc pas dire qu'il n'évalue pas le vin.
    Par ailleurs, certains préfèrent trouver dans une description quelques éléments se voulant objectifs qui leur permettent de cerner s'ils vont apprécier le vin.
    Le "souci" de H. Bizeul, c'est qu'il n'y a pas polarisation, que ce n'est ni 10/20 ni 18/20, bref que ce n'est pas simplement binaire.

    Je comprends le mot d'Olif comme un clin d'oeil à l'absurde.

    Cordialement,
    Hamitan

Les commentaires sont fermés.