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Un sommelier qui en a sous la semelle...

Ustensible indispensable, à la ville comme à la plage, sur la route des vacances mais aussi, évidemment, dans la cuisine, le tire-bouchon sert aussi bien à Bison Fûté pour délester les autoroutes encombrées qu’à Blaireau Affûté pour ouvrir proprement ses bouteilles de vin. Pour goûter, pour boire, pour cuisiner. Un outil dont le sommelier use et abuse, dans le simple but d’exercer son métier de la meilleure façon qui soit. Ne criera-t-on jamais assez la souffrance du bouchon extirpé au forceps, qui couine sous la vrille, gémit sous la lame, se brise en deux quand il ne s’émiette pas, sous la violence d’efforts expulsifs incontrôlés de la part d’un apprenti tire-bouchonneur de bouteilles que l’on n’oserait qualifier de sommelier, à peine de déboucheur de WC *?

 

La suite, c'est sur Fureur des Vivres.

 

P.S.: Petit jeu  bonus, spécialement pour le Blog d’Olif: notre ami sommelier, en vacances au Cap d’Agde, se trouve démuni, lorsque l’été fut venu.  Son tablier FdV abandonné au vestiaire du camp de naturistes, saurez-vous donc l’aider à retrouver son nu-stensile de sommellerie?

 

 

sommelier nu.JPG

 

 

Commentaires

  • Et tu as essayé cette méthode ?

  • Non ,Gabriella. J'ai de bons tire-bouchons. En cas d'absolue nécessité, toutefois...

  • Très joliment razconté, merci pour cette poésie

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