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No contains sulphites

Oui, je sais, ce n'est œnologiquement pas possible, car ça n'apporte que des défauts et ça mérite tout juste de ne pas être commercialisé, pour ne pas tromper le consommateur ignare, tout juste vidé à l'évier pour déboucher les canalisations quand on n'a plus de marc de café. Mais je n'y peux rien, j'aime bien ça!

 

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Le Herdeleau 2005, Vin de table, Domaine des Maisons Brûlées

 

Un vin non dégusté à l'aveugle, l'étiquette n'étant pas écrite en braille. Son principal défaut, à cette bouteille, c'est de se boire trop vite, comme un verre de l'eau. Gamay et Pinot noir, vinifiés ensemble, à l'épreuve de quelques années de vieillissement en cave, supposée fraîche, du Haut-Doubs. Un très joli et bon vin, imposant, à point, avec de la matière, mais une grande digestibilité. Des bienfaits de l'absence de S02.

 

Ancien directeur de cave coopérative reconverti en 1996 dans le vin biodynamique, tendance naturelle (comprendre sans intrant, ni SO2), Michel Augé serait certainement plus à même d'émettre un avis autorisé sur les vins dits "nature" que Michel Chapoutier, qui tente désespérément de se raccrocher aux branches  après une première sortie malheureuse, et qui ne fait que s'enfoncer. Si seulement ses vins à lui étaient exempts de tout reproche, en plus d'être trop sulfités...

 

Olif

 

P.S.: dernier petit rappel de langue française, tiré d'un dictionnaire (et désolé si ça ne convient toujours pas à certains mauvais coucheurs):

 

"nature", adjectif

Sens 1 Sans addition. Ex Un yaourt nature.

Sens 2 Naturel, spontané.


Le vin vaut bien un yaourt!



Retrouvez aussi les Dégustantanés sur le Blog de la Pipette.

Commentaires

  • Je ne déteste pas les notes "phénolées" de certains vins nature, et quoi que Mr Chapoutier dise, quand cette "naturalité" du vin exalte le terroir (notes de garrigue/eucalyptus), j'adore ! Mais c'est une technique difficile à maîtriser et j'ai aussi bu du nature vraiment dégueu. Pour le consommateur c'est un peu la loterie. Après tu connais le vigneron, sa façon de faire, sa période de vente (cf Marcel richaud par ex) en dehors de laquelle le vin peu "bouger".

  • Maisons Brûlées Poussière de Lune 2007 : turbide, gazeux, oxydé, goût de pomme et pire de poireau ... évier pour ce sauvignon "grand guignol".

  • Tu n'as vraiment pas de chance avec les vins "natures", Laurent. Il faut croire que tu choisis mal tes bouteilles. J'ai quand même toujours du mal à comprendre qu'un amateur puisse rejeter un vin à la robe trouble. Passe encore pour un *** sur table, et encore! Quand au gaz, si le vin a volontairement été embouteillé avec du CO2 pour le protéger, la sommellerie est un métier qui n'est pas fait pour les chiens. Pour le reste, je ne peux rien pour toi, si ce n'est que le seuil de perception/tolérance de l'oxydation est extrêmement variable d'un individu à l'autre. Au moins, tu as le mérite de ne pas généraliser et de cibler un vin précis (je sais, tu en as certainement plein d'autres en magasin!).

    Ce qui est vraiment gênant, pour ne pas dire carrément gonflant, c'est ce discours systématiquement généralisateur de la part de tous ces soit-disant bien-pensants, qui ne nous veulent probablement que du bien en nous disant quels vins ne surtout pas acheter et/ou consommer. A titre personnel, j'ai renoncé depuis très longtemps aux vins de Chapoutier, après une longue série, y compris en cuvées parcellaires coûtant la peau des fesses, de vins liégeux, bouchonnés, imprécis, pas nets, pas vraiment bons et d'un rapport qualité/prix exécrable. Et je n'en ai pas fait tout un fromage sur la toile pour me faire mousser ...

  • Un vin au goût de poireau ... ce n'est pas trop mon truc, Olif ...

    Goûté récemment des vins de Guillot, Ganevat, Tortul, Faucher, Corbineau, Duchêne ... heureusement plus présentables (sans sauter au palfond, non plus).
    Ils ne me font surtout pas mettre au rencart les vins que j'aime.

    Je me suis déjà expliqué ici ou là sur le sujet, en évitant de caricaturer notamment.

    Je n'aime au passage pas trop les vins de Chapoutier mais j'ai parfois trouvé dans sa gamme des splendeurs, certes ridiculement chères (Pavillon 2000 en rouge, Orée 2006 en blanc).

  • Il est toujours difficile de discuter des goûts et des couleurs, mais ne pas sauter au plafond avec les vins de Ganevat? Allons, vous n'avez pas dû en boire souvent.

  • Personne ne te demande de mettre au rencart les vins que tu aimes, Laurent. Ce serait plutôt le contraire. Concentre-toi sur eux, plutôt que de vouloir tout goûter, y compris des choses que tu seras sûr de ne pas aimer. Et garde le poireau pour la soupe, tu as raison, ce sera meilleur.

    Moi, dernièrement, j'ai grimpé aux rideaux avec les vins de Fanfan, rouges comme blancs, ceux de Julien Guillot, ceux de la Sorga. Et je me suis un peu, voire franchement, emmerdé avec du Bonnes-Mares 2004 de Groffier (végétal et pas bon), du Pavie-Macquin 2008 (trop jeune, forcément, mais j'ai bu d'autres Bordeaux 2008 plus avenants), de l'Auxey-Duresses rouge 2009 de Coche-Dury (d'un classicisme plat et peu enthousiasmant), du Bourgogne blanc 2008 de Coche-Dury (ça, ça fait déjà un petit moment, mais c'était acide et vert, limite buvable)... Des vins comme ça ne me feront surtout pas mettre au rencart les vins "natures" que j'aime...

  • Olif,

    Il aurait fallu que l'on teste cette bouteille ensemble, pour voir.
    Nous, autour de la table, c'était non seulement la soupe au poireau mais aussi la soupe à la grimace.
    Quelques palais échaudés, donc.
    Et quelques débutants dans le groupe, qu'il fallait un minimum informer sur la démarche.

    Toi, tu sembles ne jamais etre confronté à des vins nature partis en vrille : veinard :-)
    Tout est bon (voire grand) au pays du nature ...


    jb,

    Je goute souvent les vins de Ganevat mais n'en achète pas.

  • Plutôt que de me lancer dans quelque chose qui ferait "mais comment, pourquoi, ne pas admettre que les vins blancs de J-F Ganevat sont de grands vins? Mauvaise foi? Credo qui consisterait à ne jamais accorder à un vin "nature" qu'il est superbe?", je me contenterai plutôt de quelque chose qui fait "mais n'en achetez surtout pas, laissez les nous."

  • jb,

    J'ai goûté une fois un grand vin nature, le Clos de Bèze 2007 de Prieuré-Roch.

    Goûté de beaux vins nature aussi (Foulards Rouges glaneuses 2002, chatons de garde 2007, Overnoy Poulsard 2009, Rien que du fruit 2007 de Ganevat - 80% de vieux cépages, Enfariné, Petit Bécland, Scévillard, Geusch, etc + 20% Chardonnay).
    Mais beaucoup m'ennuient, soit parce que je les trouve répétitifs soit parce que je ne les trouve pas bons.

    Alors, je bois aussi des vins de Lenoir, de Reynaud, de Boyer (Margaux).

    Les rouges de Ganevat ne sont pas à mon goût.
    Côté chardonnay, je suis très difficile et constate beaucoup de crus "classiques" et chers décevants, bien entendu.

    Et quand un caviste (chez qui vous vous servez) me déconseille un vin de Dauvissat en me proposant plutôt un vin de Julie Balagny gavé d'acétate (en Rémont Jean Barrat 2009), j'hésite entre rire et exaspération.

    Simone 2010, heureusement net, ne rentre clairement pas pour moi dans la catégorie des vins que je recherche (vous, vous dites que Cayenne 2010 est une grande quille, soit).
    Et vous ne me ferez pas changer (dans l'immédiat du moins) mes sauvignons de Vatan ou de Cotat contre ceux des Maisons Brûlées.

    Il n'y a pas de condescendance à afficher comme vous le faites.
    Juste à essayer de voir la diversité des approches et des goûts.
    (et moi, sans remettre en cause votre sincérité et votre élan, je lis avec prudence les sites où tout est systématiquement bon).

    Et j'attends de Chamonard qu'il me remplace 10 bouteilles mal protégées.

  • Je ne voulais pas apparaître condescendant, je ne suis qu'un amateur de vin et je n'en aurais pas les moyens. Je voulais juste pointer du doigt le fait qu'il semble pour certains extrêmement difficile de dire qu'il existe d'excellents vins "nature", qu'il en existe de très bons et des bons. Ceux-ci préfèrent les mettre tous dans le même panier et les réduire à des étiquettes farfelues et à des bouteilles déviantes une fois sur deux, ce qui n'est qu'un gras cliché ne représentant en rien la réalité. Maintenant, au vu de la liste de vins que vous dites avoir aimé, vous ne faites pas partie de ces gens là.
    Si mon blog peut vous laisser penser que pour moi, tout est systématiquement bon, c'est parce que j'ai choisi de ne publier un article que lorsque j'ai aimé un vin, je ne vois pas l'intérêt de faire le contraire et de dire: "j'ai bu le vin X d'untel, c'est de la merde". Mais je suis très loin de penser et d'affirmer que les vins "nature" sont tous de qualité. J'ai bu aussi des choses dégueulasses. Et pour vous prouver que je ne fais pas partie de ces ayatollah du vin sans soufre, je peux vous dire que j'ai adoré la Pialade 2006 d'Emmanuel Reynaud.

  • Ayant la chance de goûter beaucoup de vins du monde, je suis forcément amené à côtoyer régulièrement les vins des producteurs que vous mettez en avant.
    Point de masochisme mais plutôt de la curiosité (et je goûte presque tout le temps à l'aveugle).

    J'aime particulièrement l'approche mesurée de Pfifferling sur les vins nature.
    Elle me convainc, dans le discours et les vins.

    Et j'ai envie de goûter Janin ET Dutraive, Landron ET Bossard, Mosse et Foreau (un superbe 85 sec récemment), Souhaut et Monteillet/Papy.

    Et puis j'aime régulèrement Le Roc à Fronton, Carles-Gervat à Marcillac, Escausses à Gaillac, Souch à Jurançon, ...
    Des vins francs, typés, bon marché.
    Connaissez-vous ces vins ?
    Les appréciez-vous ?

    Si je peux me permettre, vous aideriez vos lecteurs en évoquant aussi les lots ratés.
    Ce n'est certes pas si simple et on sait bien les différences d'appréciation d'un dégustateur à l'autre sur les vins de Gramenon, Prieuré-Roch, Allemand, Barral.
    Sans parler de la Coulée de Serrant (récemment bcp aimé le 2002).

    Tiens, cela me donne l'envie d'ouvrir Jadis 2005 ce soir.

  • Comme j'ai déjà eu l'occasion de te le signaler, Laurent, le vin nature est un vin qui ne se saurait être à son avantage dans les dégustations telles que vous les pratiquez à IVV. Parce qu'il nécessite d'accepter comme préalable qu'il est "vivant" et peut se goûter très différemment selon l'instant, contrairement au vin conventionnel ,que l'on qualifiera simplement de "fermé" si on ne le trouve pas à son avantage. Parmi ces vins "vivants", certains se comportent généralement beaucoup mieux que d'autres, on peut sans aucun doute les considérer comme étant les meilleurs, élaborés par les meilleurs vignerons. Ceux de Ganevat en font partie, et aucun blanc bourguignon (je dis bien aucun) ne m'aura jamais autant fait vibrer qu'un chardonnay des Chalasses ou des Grands Teppes. A tel point que, non seulement j'en achète, mais je revends mes Dauvissat sur Idealwine. Fort bien, au demeurant, il faut leur reconnaitre cette qualité-là. Pour ce qui est d'arriver à les boire, par contre...
    Je ne cherche pas à tout goûter ni tout connaitre en matière de vin, comme toi, et ne suis guère intéressé par la notion de grandeur du vin. Je demande juste à ce qu'il soit bon, et surtout buvable, ce qui est désormais la philosophie de Fanfan Ganevat, et il semble tout à fait logique que tu n'adhères pas plus que cela à l'achat de ce style de vins, tout comme ceux de Richard Leroy, que je suis surpris que tu n'aies pas encore mentionné.

    Les 2010 de Julie Balagny sont pour moi le Graal à mettre en cave (c'est fait). En Rémont Jean Barrat 2009 souffre pour l'instant d'un élevage un peu appuyé, Julie est la première à le reconnaitre, mais En Rémont 2009 est nickel.

    Des vins nature qui partent en vrille, évidemment, qu'il y en a. Parfois des cuvées irrémédiablement mauvaises, parfois de simples mauvaises passes. Mais, tout comme jb, je ne publie pas mon livre de cave en ligne (d'ailleurs je n'en ai pas), je fais part des vins qui m'ont procuré de l'émotion au travers d'une subjectivité totalement revendiquée, parce que je n'écris pas non plus un guide sur le vin. C'est un choix assumé, à mon avis irrémédiable, car je me vois mal revenir en arrière.

    Après, je reste curieux, et goûte toujours un peu à tout ce qui passe, mais plutôt dans une gamme raisonnable, car ça me fait de plus en plus mal de mettre mon nez dans un verre de vin à plus de 100€ et de n'y trouver qu'amertume et déception, malgré une critique "officielle" dithyrambique.

  • Olif,

    Je bois aussi parfois ces vins nature dans des repas conviviaux.
    Ou dans le club d'un ami, qui monte des thèmes spécifiques vin nature.
    Donc, avec des publics variés.

    Pas encore goûté Leroy 2009 ... (on me dit que c'est de mieux en mieux maîtrisé sur le bois et l'oxydation !).
    Ce devrait être moins tranchant que Coche-Dury 2008, en effet :-)

    (Pavie-Macquin, je n'aime pas trop et Groffier 2004 végétal n'est pas un scoop, essaie plutôt le Clos de l'Arlot 2008 à 40 euros, c'est du grand pinot noir, fruité, vibrant).

    Trop d'acétate dans ma bouteille de Jean Barrat 2009 : aucun plaisir.
    N'en déplaise à Melle Balagny.

    N'as-tu pas envie de t'intéresser un peu plus aux vins nature produits hors de l'Hexagone (j'essaie de le faire) ?

    Nous venons de publier un cr assez perplexe sur 44 Bordeaux GC 1996, chers et encensés (comme dans tous les cas la prudence reste de mise ... mais l'avis est mémorisé).

    Dans les plus grands vins goûtés l'année dernière (certes souvent chers, qu'ils viennent de France ou d'Allemagne), il n'y a pas un seul "vin nature".
    Très récemment par ex, un ami m'a offert de goûter Rayas rouge 90 et Climens 83.
    Ce sont bien là de grands vins de mon point de vue (le Preuses 2008 de la Chablisienne et le Bâtard 95 du DRC aussi, pour parler de chardonnay qui tutoie les étoiles).

    Chez Ganevat, pas aimé :
    * Marnes bleues 2007 (lactique, acide)
    * encore moins Grands Teppes 2004 : vert, acide (un concours avec un meursault 2008 de Coche ? aujourd'hui et dans 10 ans ?)

    * Assez séduit sur 2005 (la richesse) avec Chalasses et Grands Teppes mais mon enthousiasme reste mesuré (bons vins)
    * Chalasses 2007 pas mal et surtout Grands Teppes 2007 très bon, pur, plein, tonique.

    Au passage, ces 2 derniers vins de 2007 ont été goûtés à la suite d'une série de Montrachets.

  • Hors hexagone, gros coup de cour pour les vins chiliens de Louis-Antoine Luyt, les italiens de Gianmarco Antonuzi (Le Coste), goûtés à la Dive cette année, ainsi que pour Fattoria di Caspri. En Espagne, Joan Ramon Escoda et Lauréano Serres. En Suisse, Reto Mueller. Donc oui, je m'y intéresse.

    Et les vins de Richard Leroy ne sont pas oxydés... :-)

  • Ceux de Nicolas Joly non plus, Olif :-)

    Jamais bu en tout cas un sec de Richard Leroy qui m'emballe autant que la splendide Coulée 2002 bue récemment.
    Elle voisinait avec des vins splendides :
    Huet Le Mont 2007
    F. Cotat Monts Damnés 2007
    Grillet 2006 (grand !)
    Boxler Sommerberg 2002
    Dauvissat Forest 2002

    Beaucoup de chardonnays bourguignons le sont, malheureusement, ce qui gâche leur goût.
    Quand je pense que certains vont ajouter du soufre pour corriger le tir :-)

  • Moi non plus je n'échangerai pas mes Cotat et Vatan alors que j'adore le Quartz de Courtois (particulièrement le 2008). En revanche je m'éclate plus avec Souhaut que Gonon ou avec Chamonard plutôt que Burgaud. Si Ganevat est en concurrence avec les bourgognes (pour les blancs) ce n'est pas le cas d'Overnoy qui propose des vins offrant un plaisir inimitable. Finalement je suis ravi d'avoir le choix entre L'Anglore et la Pialade quand j'ai envi de boire un Rhône sud.

  • Intéressants les vins chiliens du Clos Ouvert, à part en effet (hier soir un carmenere).

  • Clos Ouvert (Luyt), intéressant carmenere 2009 hier soir.

  • Au salon "le vin de mes amis" le Clot Ouvert était présent dans le cadre du négoce Puzelat-Bonhomme. En particulier, un vin issu de vignes ayant plus de 200 ans m'a beaucoup plu: droiture et finesse.

  • Tinta Païs ?

  • Je crois que c'était "Pais de Quenehuao"

  • Bian aimé ce vin :
    Chili : Maule - Clos Ouvert « Vino Puro » Vino de Secano Huaso 2008

    Pensé aux vins de l'Anglore (ou de Gramenon).

  • Olivier Rivière en Rioja (Bodega Ruiz de Vinaspre), rouge (Ganko el Cabezota)et blanc (Jequitiba), à découvrir aussi.

    Ainsi que la Podere Le Bonce da Giovanna Morganti (Chianti).

  • Un autre (très) grand vin "nature" goûté récemment : Vosne-Romanée Clos Goillotte Prieuré-Roch 1998 : 18,5/20

    Là, on est dans la complexité, la finesse de texture, la purté, la longueur, le potentiel de vieillissement ...
    Le monde des grands vins ... AMHA

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