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  • Les billets manqués de 2013...

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    Plutôt qu'un bête best-of, exercice quasi obligé des fins d'année, voire, pire, un bêtisier, voici un billet intelligent (quoique...), à ne pas obligatoirement prendre au sérieux non plus, compilant certains bons moments de 2013 complètement inédits, du total rattrapage de notes encore jamais écrites, parce que pas eu le temps, parce que... Parce que. En vrac, en bouteilles et aussi en tronches de vigneron(ne)s.

     

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    Tant qu'il a Plappevignes, il y a de l'espoir :)

    Le salon messin, pardon plappevillois, de François Adam pourrait donner l'impression d'être caché derrière une feuille de sa vigne, celle d'Adam, mais il n'en est rien. Implanté au cœur de l'ancien vignoble mosellan, parfaitement organisé, très fréquenté, par les Lorrains mais aussi les Luxembourgeois, avec une sélection de vins et de vignerons particulièrement qualitative et open, ce fut l'un des temps forts de l'automne gustatif, alors même que l'hiver commençait à se dessiner sur les montagnes du Jura.

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    Du vin, des tee-shirts (ceux de Rémy, évidemment) et des livres. L'occasion d'une battle-dédicace avec Miss Glouglou, régionale de l'étape et paradoxalement folle de Metz, malgré les heures qu'elle passe assise à se muscler l'arrière-train dédicacer. Les Tronches au tapis! Avec Ophélie Neiman, le vin n'est définitivement pas sorcier et les Lorrains sont assoiffés d'apprendre et de goûter. Y compris les vins des coteaux de Moselle, plébiscités par les locaux, même ceux qui en boivent tous les jours. Dont le Château de Vaux, l'un des plus réputés, et les vignobles Oury-Schreiber, également implantés dans le Languedoc au domaine Rocaudy. Et tout ça en bio de longue date, s'il vous plaît madame. De bien jolies découvertes.

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    Les trois muses du Sud en mi majeur donnaient à goûter le meilleur d'elles-mêmes, après qu'elles l'eussent trempé dans leur vin fétiche (de gauche à droite, le Temple du Château Bas de Marie Lottin, les Orientales de Laurence Rousselin, vigneronne rock'n'roll, et Homo Habilis de la piscenoise Catherine Leconte des Floris). Ne manquait à ce trio féminin qu'Antoine Olivier, disqualifié d'office pour des raisons bien faciles à comprendre, mais son Santenay sentait et goûtait ma foi fort bon la c(e)rise.

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    My wine is gone away :))


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    Lyon, capitale des Gaules et des Gones aussi. J'y suis allé à deux reprises cet automne et ce n'était pas pour faire le guignol. C'est bien connu, les Lyonnais ont le gosier et la Croix-Rousse en pentes. Première étape: Ô vins d'anges, chez Sébastien Milleret, qui a eu la cervelle de s'installer dans un ancien atelier de canuts pour ouvrir sa cave, au cœur du quartier historique de la Croix-Rousse. Une sélection de vins imparable, effectuée sur la route du vignoble. Tous les vignerons présentés en boutique ont été rencontrés et visités in situ. Ces derniers savent d'ailleurs lui rendre la pareille et n'hésitent pas à participer aux différentes animations proposées par la cave, rencontres, dégustations, repas, parfois les trois en même temps. Les vendanges et les vinifications à peine terminées, Catherine Bernard a sauté dans le TGV à l'occasion de la parution des recettes de sa vigne. Des recettes illustrées et revisitées par Julie Coppé, talentueuse cuisinière nomade formée, entre autres, à l'école d'Alain Passard.

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    Un menu trois étoiles, accompagné de flacons sélectionnés avec soin par Sébastien. Comme mise en bouche pré-repas, une mini-verticale des vins de Catherine Bernard (un magnifique 2010, un 2011 nouvelle mise plus que prometteur, un 2012 fraîchement mis en bouteille qui descend tout seul et un rosé collector épatant) a parfaitement aiguisé les papilles.

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    Courant novembre, Lyon deuxième, dans le deuxième cette fois. L'occasion de pousser jusqu'à Vercoquin, cave à vin naturels désormais doublée d'un véritable restaurant. Élémentaire, mais néanmoins très élaboré. C'est d'ailleurs son nom. Malheureusement, pas eu le plaisir de goûter à la cuisine ce soir-là, une autre adresse avait retenu mon attention. Ce sera pour la prochaine fois. Surtout que Julie Coppé vient parfois mettre la main à la pâte en cuisine, pour des soirées-événement. Vercoquin, côté cave, ça assure plutôt bien. Il y a de quoi étancher sa soif apéritive, d'autant plus lorsque Binbin, fou de vin, le "flying sommelier" en scooter, débarque avec des quilles supplémentaires sous ses ailes.

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    En novembre, fait ce qu'il te plaît. En mets également. Chez Katsumi Ishida, le vendredi c'est menu-dégustation, faut pas s'en priver. Carte de vins natures exceptionnelle, ce qui ne gâte rien.

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    On n'est vraiment pas Hédé! :)))

     

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    C'était au temps lointain, un temps d'avant que le breton moyen ne troque son chapeau rond contre un bonnet rouge pourtant bien moins seyant, bien avant aussi que la tempête de Noël 2013 ne vienne le décoiffer au cas où il ait justement oublié de mettre son bonnet. Comment ai-je pu ne rien écrire sur ma première participation à ViniCircus? C'était pourtant au temps lointain où l'on dédicaçait des Tronches à la pelle. C'était au temps où Miss Glouglou n'avait pas encore écrit son livre de sorcellerie.

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    Je me souviens d'un premier barbotage dans la Manche, encore bien fraîche pour la saison. Je me souviens aussi d'un samedi en bottes de marins, tenue de rigueur pour ne pas rester embourbé sous le chapiteau, puis de la première migration rennaise vers la côte pour cause de dimanche ensoleillé, un énorme bouchon qui a mis du temps à sauter. J'ai toujours en mémoire une agréable soirée aux Buveurs de Lune à Saint-Malo, ainsi que la prestation exceptionnelle de Rémi Fournier l'angevin, lors du premier repas pris sous le chapiteau. Je me rappelle que mes oreilles ont bourdonné longtemps après que la Caravane soit passée et shouf la chapka. Je revois même encore nettement la trogne d'augustes vignerons, parfois au nez rouge. ViniCircus, c'est tout un cirque et dire que je n'ai pas eu/pris le temps de le raconter.

     

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    L'année prochaine, on essaiera de ne rien manquer et de tout écrire. En attendant de poursuivre cette petite remontée dans le temps, je souhaite à tout le monde un joyeux Noël 2012.

     

    Olif

     

    P.S.: la photo mise en chapeau de l'article n'a absolument rien à voir avec le sujet. Il s'agit du château de Joux pendant l'hiver 2013, au temps déjà lointain où on avait encore de la neige dans le Haut-Doubs. Parce qu'un Noël sans neige, ni sapin...

  • Phoremidable!

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    2013, année de l'amphore dans le Jura. Tant pis pour la rime. L'une d'entre elle a fait son apparition chez un futur producteur d'Octavin de France du Jura. D'autres sont venues grossir les rangs du pionnier jurassien en la matière, Stéphane Tissot. Rejointes par une qvevri géorgienne, enterrée dans la cave pendant les vendanges, à côté des foudres du DD, et qui est désormais remplie de 1000 litres de trousseau dont on est impatient de découvrir ce que ça va bien pouvoir donner.

     

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    Avant de tâter de l'amphore, un peu de bulle, avec BBF et Indigène, puis de la barrique, avec les sélections parcellaires de Chardonnay du domaine. Toujours aussi bien définies par leur terroir, même si la Mailloche mailloche de moins en moins. Elle gagne en finesse tout en perdant sa rusticité fumée et épicée. On peut s'en réjouir comme le regretter. En 2011, elle a de surcroît fauté dans la Tour de Curon, pour apporter un équilibre inédit au domaine. Curon l'emporte, avec sa puissance, mais sa fougue a été domptée. Les Amants vont pouvoir s'endormir à la cave, sans craindre l'outrage du temps. Ne pas hésiter à les réveiller si le cœur vous en dit! Derrière, le Savagnin 2012 Amphore ne se laisse pas conter fleurette. Il est tout simplement formidable, à la hauteur des 3 millésimes précédents.

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    Et puis, flash-back. En Barberon 2000, premier blanc sans soufre de Stéphane Tissot. Depuis le millésime 2005, la cuvée est légèrement sulfitée à la mise, suite à des déboires sur le millésime 2004. Joli nez de chardo évolué, mais pur et précis. Le passage en carafe lui procure l'oxygène nécessaire à son épanouissement. Contrairement aux idées reçues, sans soufre ne rime pas avec vieillissement prématuré et oxydation. Au contraire, ce sont des vins qui demandent souvent du temps. Cet exemplaire en est la preuve toujours bien vivante.

     

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    Après un Poulsard DD 2012 hautement buvable, mais un peu plus ferme (sans accent) que le 2011, sans doute du fait de la présence de 20% de trousseau, le Trousseau Amphore en impose. Temps fort! Totalement différent du 2011, plus structuré et tannique, il va demander du temps. Un vin tout simplement formidable!

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    Et puis, vint En Barberon. Pinot noir 2012, 100% grappes entières, en infusion. Le top du top. Sans doute le meilleur jamais produit par Stéphane. Un summum de finesse et de délicatesse, la quintessence d'un grand pinot. Mais, le pinot noir, dans le Jura, t'oublies! De toute façon, il n'y en aura pas pour tout le monde.

    Après un Traminer 2012 qui nous a emmené l'espace d'un instant en Alsace (petite nouveauté avec ce millésime, le passage d'une petite proportion du vin en fût, pour étoffer la structure), le Jaune 2006 des Bruyères nous ramène du côté d'Arbois. Avant de repartir à peine plus au Sud, pour la dégustation en avant-première du Château Chalon 2007, premier du nom au domaine. Assemblage de deux pièces, prélevées au dzi, alors qu'il y en a cinq. Partagées entre cave fraîche et cave plus chaude, pour ne pas en faire un Château Chalon arboisien. La claque du jaune avec la finesse castelchalonnaise. On en reparlera avant longtemps, même si ce n'est qu'un petit aperçu de ce qu'il pourra donner une fois mis en clavelin!

    À quand le premier vin jaune en amphore?

     

    Olif

     

    P.S.: phoremidable ne rime certainement pas avec phore minable, mais c'est le bonus qui s'impose. Forcément!

     

  • Des Nouvelles, bonnes ou mauvaises...

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    Bonne nouvelle, c'est l'Avin. Avant que l'espiègle Eva d'Œnos ne crée l'Avin, il n'y avait que l'Avent. Mais ça c'était avant. L'Avent et son célèbre calendrier, coincé entre celui du facteur et celui des pompiers. L'avantage du calendrier de l'Avent, c'est que derrière chaque petite porte se cache une surprise. Autre bonne nouvelle, le calendrier de l'Avin regorge, lui, de belles bouteilles. Des flacons débouchés pour l'occasion par les Avineurs, dont on espère qu'ils ont bien aviné leur verre. Depuis, Eva a beaucoup bu et également rebu. C'est tout nouveau et ça vient de sortir. Toujours autour du vin, évidemment.

    Bonne nouvelle, aujourd'hui, c'est mon tour. En ce dixième jour du calendrier de l'Avin, place à L'Octavin. Le huitième eût été plus judicieux, j'en conviens. Mais ce n'est pas pour autant une mauvaise nouvelle.

     

    La suite, c'est sur le Calendrier de l'Avin...

  • Des Nouvelles, bonnes ou mauvaises...

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    Bonne nouvelle, c'est l'Avin. Avant que l'espiègle Eva d'Œnos ne crée l'Avin, il n'y avait que l'Avent. Mais ça c'était avant. L'Avent et son célèbre calendrier, coincé entre celui du facteur et celui des pompiers. L'avantage du calendrier de l'Avent, c'est que derrière chaque petite porte se cache une surprise. Autre bonne nouvelle, le calendrier de l'Avin regorge, lui, de belles bouteilles. Des flacons débouchés pour l'occasion par les Avineurs, dont on espère qu'ils ont bien aviné leur verre. Depuis, Eva a beaucoup bu et également rebu. C'est tout nouveau et ça vient de sortir. Toujours autour du vin, évidemment.

    Bonne nouvelle, aujourd'hui, c'est mon tour. En ce dixième jour du calendrier de l'Avin, place à L'Octavin. Le huitième eût été plus judicieux, j'en conviens. Mais ce n'est pas pour autant une mauvaise nouvelle.

    Bonne nouvelle, il s'agit d'un savagnin. Un savagnin des Nouvelles, une parcelle qu'elle est bonne et qui domine la ville d'Arbois à l'Est. Mauvaise nouvelle, la Comtesse A... a gagné trois petits points sur son étiquette, pour ne pas réveiller les vélléités combatives des avocats de l'opuscule vinique number one, qui avaient déjà contraint Alice Bouvot et Charles Dagand à abandonner leur nom originel d'Opus Vinum. Comtesse Almaviva était le nom de ce vin, Mozart ne devrait néanmoins pas se retourner dans sa tombe pour une initiale ponctuée.

    Car, bonne nouvelle, ce savagnin ouillé 2012 est juste épatant. Il frétille encore dans le verre tellement il est vivant. Un vin de fruit et de soif qui met le savagnin à la portée de tous ceux qui ont peur du jaune.

    Mauvaise nouvelle (ou pas, c'est selon), l'année prochaine, il ne sera plus d'Arbois, ni du Jura, mais de France. Ça ne le rendra pas moins bon, mais ne facilitera pas la prise de nouvelles. Un choix mûrement réfléchi par le tandem ABCD de se mettre hors AOP, ce qui ne s'est pas fait sans douleur. Mais il devient de plus en plus dur de lutter contre la volonté de marginaliser tout ce qui ne rentre pas dans une pseudo-norme d'expression et de typicité.

    C'était la Comtesse A... 2012, ex-Comtesse Almaviva, futur ex-vin d'Arbois, en direct du calendrier de l'Octavin. En avant toute!

     

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    Olif

  • Saint-Glou 2013 en Alsace: les bonnes adresses, yoppla encore une fois! (2)

     

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    © Vincent


    Retour en Alsace sur l'évènement le plus festif de 2013 avant l'ouverture des différents marchés de Noël qui émaillent la région et nouvel hommage à Saint Glou, grand patron des buveurs, qui a tenu début novembre son assemblée générale annuelle sur les bords du Rhin, ce qui ne fut pas un mauvais calcul.

     

    Obernai

    Quoi de neuf, Docteur? Qui aurait pu penser tomber un jour en extase devant une carotte? Excepté Charlotte, personne ne pouvait imaginer prendre un tel pied avec cette apiacée. Une bête carotte! Sublimée par Thierry Schwartz, du Bistro des Saveurs.

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    Et puis, cet œuf dans l'œuf®, prouesse culinaire magnifiquement relevée par une râpée de truffes, de la main même du chef, qui tient à ces petits gestes de dernière minute en salle, afin de favoriser la compréhension de sa démarche auprès des clients.

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    Et puis cet aérien Baba au Biersky (by Uberach), qui met magnifiquement en valeur l'alcool imaginé par Jean Metzger à la distillerie Bertrand d'Uberach, une des premières à avoir fabriqué du whisky alsacien. Assemblage d'eau de vie de bière et d'eau de vie de malt, le Biersky remplace le rhum au pied levé dans ce dessert au classicisme revisité avec bonheur.

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    Ribeauvillé

     

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    Dans l'un des plus beaux et célèbres villages alsaciens de la Route des vins, celui qui voudrait échapper au traditionnel winstub devra ruser. Au Goupil, bar à vins et cave à manger, l'Alsace est pourtant à l'honneur. Dans l'assiette et dans le verre, même si l'on s'autorisera quelques incartades extra-régionales, en Jura par exemple, pour revenir aux fondamentaux.

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    Un peu plus haut dans la rue, en direction des châteaux que nous n'atteindront jamais, il y a Saint-Ulrich, fidèle disciple de Saint-Glou, qui met à l'honneur le whisky écossais et la bière ... belge! Ouvert selon le bon vouloir du patron (c'est à dire souvent, mais en fonction de ses possibilités de récupération de la veille). Une belle occasion de se désaltérer une bonne fois avant de reprendre le chemin de l'hôtel.

     

    Andlau

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    Cliché Zinck Hôtel

    Camp de base de cette Saint-Glou alsacienne, le Zinck Hôtel propose des chambres aussi vastes et originales que confortables, à un tarif parfaitement étudié. L'accueil de tout premier ordre et une situation stratégique au cœur du vignoble en font l'étape de choix pour un périple alsacien.

     

    Barr

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    Tous ceux qui ne s'étaient pas barrés le dimanche après-midi se sont retrouvés Au Potin pour un potinage post Saint-Glou. Nostalgique des belles brasseries parisiennes, un concept alsacien exporté dans la capitale au XIXème siècle, Hervé Duhamel a recréé dans ce vaste endroit un mix entre winstub, restaurant et brasserie. Cuisine du marché, tendance bistronomique, spécialités alsaciennes ou tartes flambées, le choix est vaste. La carte des vins éclectique incite à batifoler hors Alsace, du côté de la Loire, du Jura ou du Rhône. Le plus bel endroit pour clôturer une Saint-Glou, en fait!

     

    Olif

     

    P.S.: fin de semaine parisienne chargée pour les amateurs de vin biodynamiques ou natures.

     

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    Tout d'abord, le jeudi 12 décembre, une battle-dédicace au Lapin blanc, 84 rue de Ménilmontant, qui réunira l'Altervin, les Tronches et Miss Glouglou. Avec en guest star Merci du domaine de la Boria.

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    Du vendredi 13 jusqu'au dimanche 15 décembre, il sera de nouveau possible de boire nature à l'Espace Beaujon, rue du Faubourg Saint-Honoré.

     

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    Et pour tous ceux qui n'ont pas le mal de mer, 25 vignerons bio-logiques & dynamiques se mettent une nouvelle fois en Seine sur la Péniche Mélody Blues. Ça va tanguer du côté de Bercy!