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  • Le 18 mai, déguste ce qui te plaît, aux Jardins!

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    Et le 19 mai, tu tapes ton compte-rendu, ce qui t’évitera d’amonceler du retard!

    A la Saint Eric
    Pas de panique
    N’aies pas peur de la trique
    Prends du Viagra générique
    Si tu vas faire du trek
    En altitude bolivique.

    Cette intro un peu tirée par les cheveux en hommage au valeureux trekkeur GJPesque, Le Seb, grand absent de la soirée, car fraîchement parti en Bolivie, à 6000 mètres, avec un groupe de joyeux sportifs de la gent exclusivement masculine, dopés au Viagra pour mieux supporter l’altitude. M’est avis que y’en a qui vont avoir du mal à s’asseoir en rentrant!

    Pendant que, dans la plaine arboisienne, côté Jardins, certains dégustaient ce qui leur faisait envie, ou presque, puisque tout ceci se passait à l’aveugle, évidemment!

    Touraine 2003, Cuvée du Centenaire, Fié gris, Domaine Paul Buisse

    Le fié gris, un genre de sauvignon rose dont la couleur s’apparente à celle des éléphants, afin de ne pas le confondre avec les fraises des bois. Premier nez boisé, lactique, vanillé. Bouche fruitée, simple, mais agréable. Un vin léger et plaisant, qui n’a pas la structure pour supporter tout ce bois, mais il s’agissait là de faire une cuvée d’exception pour le centenaire de la maison. Intéressant mais inabouti!

    Nature 2004, Domaine Julien Meyer

    Evident que j’allais essayer de la placer, celle-là! Nez sur les fruits jaunes, mirabelle entre autres, incitant à porter le verre à ses lèvres. Onctueux en bouche, mais revendiquant sa simplicité, franc, gourmand, même si à le humer, certains en attendraient plus. Pour 5 €, on est quand même largement servi!

    Côtes du Jura La Bardette 2002, Domaine Labet

    Nez minéral argileux, frais et mûr. Structure minérale acérée, sur le fil, évoquant un vin jurassien sur argile, avec sa finale acidulée. Un bébé Bardette qui promet drôlement, à encaver pour les générations futures!

    Le Verre des Poètes 2004, Domaine de Montrieux, Vin de Table

    Robe très colorée. Nez végétal à mort, qui évoque, selon les références, le chou, le poivron, la patate. L’aération lui fait gagner du fruit, des épices, des notes fumées. Bouche simple, mais bien structurée, finale croquante et fraîche. 100% Pineau d’Aunis, une sacrée découverte! Mais pas un vin facile, car déroutant, par son nez surtout. Un domaine qui mérite en tout cas d’être suivi de près!

    Tam Tam 2005, Côtes du Roussillon Villages , Domaine du Bout du monde
    50% Syrah, 30% Carignan, 20% Grenache. Le premier millésime d’Edouard Laffitte, installé à LansacDivers_012 (66), dans les mêmes locaux que Loïc Roure, du Domaine du Possible. Premier nez réduit, foxé, sauvage. Le fruit revient bien à l’aération. La bouche est fraîche et fruitée, les tanins croquants, gorgés de soleil. Un vin somme toute plaisant, une fois franchi l’écueil du nez.

    Hop’la 2005, Côtes du Roussillon Villages, Domaine du Bout du monde

    Robe rubis éclatante ,belle pureté de fruit. Attaque souple, vin presque trop sage, finale chaude et un peu alcooleuse, avec sensation de surcroît finale. Un vin plus consensuel, qui devrait plaire. 70% Carignan 15% Syrah, 15% Grenache.

    Avec le temps… 2005, Côtes du Roussillon Villages , Domaine du Bout du monde
    100% Carignan. Premier nez tout cacao, avec du fruit (groseille) et de la volatile. Fraîcheur en attaque, tanins croquants, on retrouve l’acidité volatile en finale avec des notes balsamiques persistantes dans la rétro. Le plus convaincant pour moi des 3 vins du domaine goûtés ce soir-là, et un bout du monde dans lequel il devrait faire bon se perdre assez rapidement!

    Syrah Bon Cap 2003, South Africa

    Robe grenat, fruit très mûr, avec un petit côté végétal évoluant rapidement dans le verre. Epicé, fumé, grillé, boisé, mais avec une certaine élégance. Un vin qui ne trompe cependant pas son (nouveau) monde, avec une finale un brin trop chaude.

    Château de Léoville-Las cases 1987
    Robe légèrement tuilée, homogène. Nez ouvert, épanoui, de grande classe, rappelant le bois noble, le poivron bien mûr, le Havane, le champignon d’automne, évoquant ostensiblement la rive gauche de la Gironde. Bouche toute en dentelle et pourtant très longue. Un vin racé, de petit millésime, pas encore mort!
    Une exception bordelaise, région largement sous-représentée dans les dégustations des Jardins, mais qui a néanmoins beaucoup séduit par son élégance et son classicisme.

    Olif

  • Les Côtes du Rhône du Septentrion, côté Jardins!

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    Comme le temps passe! La précédente session des Jardins de Saint-Vincent remonte à maintenant un mois et je n’en ai toujours pas fait le compte-rendu! Et comme ça recommence ce soir, pas question de cumuler du retard!

    A la Sainte Odette
    N’oubliez pas de payer vos dettes
    Si vous buvez une petite rincette!
    On est heureux Nationale sept!

    Le Rhône septentrional, là où la syrah est roi, où le viognier est reine (à moins que ce ne soit l’inverse), là où la marsanne et la roussanne ne sont ni roi, ni reine, mais où il y en a quand même.

    On commence par quelques blancs, pour la mise en bouche. A l’aveugle, évidemment!

    Vin de Pays des Collines Rhodaniennes 2004, Domaine Chèze
    Robe claire, nez fruité, légèrement lacté. Un peu court, mais sympa, malgré une pointe d’alcool en finale. 100% Marsanne.

    Condrieu Coteau de Chéry 2004, André Perret
    Robe claire, aromatique fraîche et fruitée qui oriente d’emblée vers le viognier: pêche, abricot. Puissant et gras, il possède néanmoins une belle fraîcheur et de la minéralité en fin de bouche, ce qui lui permet d’éviter l’écueil de la lourdeur.

    P’tit Jo 2004, Domaine de la Roche Buissière
    Incursion éclair plus au Sud, histoire de faire connaissance avec le P’tit Jo, un pur grenache de cuve vinifié très « nature ». Robe grenat clair, légèrement trouble. Une pointe de gaz pour la fraîcheur et accentuer la buvabilité. Vraiment sympa et désaltérant!

    Saint-Joseph 2004, Aurélien ChatagnierPetitjo_004
    Robe sombre, très beau nez, épice et réglisse, très élégant. Bouche puissante, large, mais fraîche, malgré une finale légèrement tannique.

    Saint-Joseph 2004, André Perret

    Une syrah tout en finesse, à la bouche d’une grande droiture. Matière riche, grande longueur, équilibre septentrional frôlant la perfection! Bravo André!

    Côte Rotie 2002, Jamet

    Nez torréfié, puis floral, un peu végétal, épicé. Grain serré, tanins un peu rugueux, acidité fraîche qui revient en finale, avec une petite touche métallique. Un vin très plaisant, qui mérite d’être encore attendu.

    Cornas 2002, Thierry Allemand

    Nez ouvert, floral (pivoine), fruité, épicé. Fraîcheur, finesse et élégance, un vin qui a séduit l’assemblée par son caractère frais, net, précis et sans bavure. On en redemande!

    A noter, dans l’assistance, la présence d’un tout jeune retraité, qui ne nous régalera plus de ses divines charcuteries, mais qui s’est fait un plaisir à manger celles des autres! Petite séquence nostalgie, donc, lors du traditionnel mâchon final, dédié à Maître Jean-Claude, qui nous a sustentés depuis toutes ces années!

    Olif

  • Domaine Julien Meyer, la Biodynamie Nature!

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    Pour commencer la série Alsace, on ne va pas faire dans l’œnologiquement  correct et bien pensant. Direction Nothalten, dans le Bas-Rhin pour la découverte du week-end en ce qui me concerne! Un domaine comme je les affectionne, un vigneron comme je les aime, des vins comme je les adore! Respectueux de leur terroir et vinifiés de manière non aléatoire ! De la biodynamie tendance nature, et des vins en liberté, décoincés, euphorisants. Pas dans le genre consensuel mou, c’est le moins qu’on puisse dire! On attaque la dégustation sur les chapeaux de roues en compagnie de Patrick Meyer,  qui faisait du compost à la vigne en nous attendant.

    Nature 2004
    Assemblage Sylvaner-Pinot blanc, destiné à une consommation immédiate, un vin de fruit, de plaine, sans véritable terroir. J’aime son côté croquant, immédiat, et sa grande digestibilité.

    Mer et Coquillages 2004
    Sylvaner et Riesling à destination d’une assiette d’huîtres! Belle maturité de fruits, avec une pointe terpénique. Un vin de plaisir.

    Pinot blanc Les Pierres Chaudes 2004
    80% Auxerrois, 20% Pinot blanc. Minéral et tonique, avec du fond, pourvu d’une belle fraîcheur.

    Sylvaner Zellberg 2002
    Porté par une belle acidité, au caractère tranchant, ce vin minéral redonne toutes ses lettres de noblesse au Sylvaner, cépage injustement méprisé en Alsace.

    Sylvaner Zellberg 2005
    Prélevé sur cuve. Robe encore légèrement trouble, arômes d’agrumes (pamplemousse), excellente buvabilité par son caractère frais et vif. Prometteur!

    Sylvaner Zellberg 2004
    La minéralité est au rendez-vous. De belles promesses pour un caractère assez superposable au 2002.

    Johannisberg 2004, Sélection Excelsus, Valais
    Un vin dégainé de ma glacière de façon inopinée, qui permet d’appréhender quelques différences d’approche inter-vignobles. Le nez est agréable, la bouche développe un peu de gras, la structure est lisse, à peine monocorde. La finale est marquée par la présence d’amers et une sensation chaleureuse, alcooleuse. Voici une petite comparative qui ne veut absolument rien dire, tant ce vin était bien sorti au milieu des siens il y a 15 jours en Valais (le compte-rendu ne devrait peut-être pas tarder à arriver!).

    Sylvaner Zellberg 1998
    Nez mûr, encore porté par des agrumes, mais le minéral perce. La bouche, encore retenue, dévoile quelques largesses et une belle amplitude. Entamant une seconde jeunesse, il démontre avec éclat que les beaux vins de Sylvaner ont un grand potentiel de vieillissement.

    Riesling 2004
    Petit exercice de style avec ce vin, goûté sur trois bouteilles différentes, ouvertes à différents moments. Entre celle dont l’ouverture remonte au 1er mai, celle du 10 mai et celle du jour même, le 13 mai, on gagne en épanouissement aromatique ce que l’on perd en minéralité et en fraîcheur. Fugaces notes terpéniques sur la cuvée intermédiaire, mais un ensemble toujours cohérent.

    Riesling Zellberg 2004

    Nez fruité primaire, avec une jolie minéralité qui pointe. Pour connaître son évolution dans deux ans, se reporter au vin suivant.

    Riesling Zellberg 2002
    Profond, complexe et minéral. Un ensemble harmonieux et très plaisant à ce stade. Pour connaître son évolution dans deux ans, se reporter au 2000, que nous ne goûterons pas ce jour. Désolé!

    Riesling  Grittermatte 2004

    N’a pas fini tous ses sucres avant la mise. Il en reste 16 g, à peine perceptibles, du fait d’une grande acidité. Ils sont destinés à être « mangés » en bouteille, au fil de l’évolution, qui, en moins de 6 mois, est déjà fulgurante, paraît-il!

    Riesling Muenchberg 2002
    Nez élégant, citronné, minéral. Bouche droite, tendue, finale acidulée, qui révèle son terroir.

    Riesling Muenchberg 2004
    Là encore, comme pour le Zellberg, on a le sentiment d’une copie conforme, dans le style, avec juste deux ans de moins. Le côte fruité variétal est encore là, mais le terroir transparaît. Il faut l’attendre!

    Riesling  Muenchberg 2000
    La robe commence à dorer, le nez gagne en profondeur et en complexité, le terroir est là, dans toute sa splendeur. Très long, très beau, très bon.

    Pinot Noir Les Pierres Chaudes 2004

    Une cuvée sans soufre à la légère réduction initiale et qui révèle par la suite un fruité gourmand aux tanins fins.

    Pinot Noir Heissenstein 2002
     
    De vieilles vignes de 50-60 ans, sur le même terroir que les Pierres Chaudes. D’ailleurs, il me semble bien que cela veuille dire la même chose dans les deux langues! Je lui trouve un caractère floral, malgré une pointe de volatile. J’aime son grain fin, sa belle amplitude, ses tanins croquants en finale.

    Pinot Noir Heissenstein 2000

    Le teint est trouble, légèrement bruni, comme Carla, mais toujours brillant, comme Dany, mais comme Carla aussi. Là aussi, de l’acidité volatile qui traîne, lui donnant de la digestibilité, mais un peu trop marquée pour prétendre à un statut supérieur.

    Pinot Noir Heissenstein 1996

    La robe est évoluée mais avec un éclat persistant. De la rondeur, de l’harmonie, de la complexité, un certain épanouissement. J’aime beaucoup!

    Muscat Petite Fleur 2004

    Se goûte moyennement ce jour, d’après Patrick, car il manque de « gnac », la bouteille étant ouverte depuis un ou deux jours. Je le trouve quand même sympa, avec de la fraîcheur.

    Muscat Petite Fleur 2005
    Un échantillon prélevé sur cuve, histoire d’avoir un aperçu de son peps habituel. Avec un peu de carbonique, c’est vrai que ça pétille plus!

    Pinot Gris 2004
    Sur le fruit, rond et charmeur!

    Pinot Gris Fanny Elizabeth 2003

    De la rondeur et de la richesse inhérente au millésime, mais un ensemble cohérent, avec une finale encore un peu dissociée.

    Gewurztraminer Heissenberg 2004

    Elégance, finesse et légèreté, pour un Wurtz l’aromatique variétale pas trop appuyée, frais et vif malgré ses 25 g de sucre résiduel. « Faire de la dentelle avec de la concentration », voilà résumé le credo de Patrick Meyer. Et il y arrive, le bougre!

    Riesling  VT Muenchberg 1998
    Un Riesling aux accents minéraux et terpéniques, mais à l’équilibre harmonieux, aérien et longiligne.

    Pinot Gris VT 2000
    Gras et puissant, rond et équilibré.

    Gewurtztraminer VT 2000
    Grande pureté de l’aromatique, finale fraîche, équilibre étincelant, un beau Gewurtz, une belle VT!

    Riesling  SGN 2000
    Une très belle liqueur pour la gourmandise finale!

    Fin de la première étape. Je me suis particulièrement régalé avec les vins de plaine (et de fruit), destinés à une consommation rapide. Nature et Mer et coquillages devraient être mes deux vins blancs de l’été! J’ai été séduit par la race et la classe du Sylvaner Zellberg, qui démontre avec éclat tout le potentiel du cépage, que j’avais rarement dégusté à un aussi haut niveau en Alsace, même si mon expérience est petite dans ce domaine. J’ai été ébloui par la prestance du Muenchberg et la révélation progressive du terroir dans cette mini-verticale. Et enfin, les Pinots noirs du Heissenstein possèdent une très jolie trame malgré les quelques défauts liés à leur mode de vinification, des défauts que je sais apprécier en tant que qualités selon les circonstances! On pourra tester différentes interprétations sur le domaine, plus ou moins judicieuses et/ou arbitraires (je laisse à chacun le libre choix de son avis et je revendique aussi ma subjectivité!), sur le Forum des dégustateurs.

    Olif

  • Week-end mystère deuxième, la solution!

    Il est grand temps de donner la soluce du week-end mystère et munster, avant que les pro-Vosgiens et les pro-Alsaciens n'en viennent aux mains!

    Ben voui, je suis allé en Alsace, je pense que tout le monde l'avait deviné! Plus précis, en fait, ce n'était pas possible de trouver, car je n'avais donné aucun indice pour ça! Tiens, en voilà un!

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    Qui sera capable de reconnaître sur ce cliché l'église d' Husseren les Châteaux? Levez le doigt! Sans tricher, s'il vous plaît!
    Vous l'aurez deviné également, le but de ce périple, c'était le vin! De façon intensive du vendredi 20 heures au dimanche 2 heures. Du matin. Après, on s'est calmés! Et on est allé cueillir des Pensées sauvages et du Munster tout en haut sur la montagne, en face du Grand Ballon. Du Munster biodynamique, s'il vous plaît, élaboré par un homme de convictions, aux idées bien arrêtées, mais très attachant. Dont l'estime se mérite (et je suis loin d'être certain d'y être parvenu), et dont le Munster est drôlement bon! Authentique et véritable!

    En parlant de Munster, les meilleurs s'élaborent certainement dans les Vosges, la montagne. Pour le département, 68, 67 ou 88, à qui la palme? Je ne saurais le dire, mais celui de la Ferme des Pensées Sauvages, au dessus de Linthal, vaut à lui tout seul l'ascension! Et ce, même si on arrive à le trouver dans les bonnes adresses de la plaine, et à la foire de Rouffach, en particulier!

                                                                                       
    LES PENSEES SAUVAGES
    François
    BAUMANN
    Ferme du Remspach
    68610 LINTHAL
    Tél. : 03 89 26 40 13
    Fax : 03 89 26 42 84

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    Olif






  • Week-end munster, deuxième! L'indice!

    Bon! Puisque personne n'a encore trouvé, hormis Anne-Cé et Clairechen (mais elles sont minoritaires, ça ne compte pas!),  je donne un indice aux autres! Non, ce ne sont pas les Dombes, Estèbe, ni le Sud-Ouest, Téva, ni le Zoo de Bâle, Laurent, ni la Charente ou la Vendée, Lilizen et Philippe (même si on y trouve des cigognes, sont-elles en bois au dessus des cheminées des maisons à colombage? Voyons! ) Et non, je ne suis pas un comique, Lili, soyons sérieux 30 secondes, s'il te plaît!

    L'indice! L'indice! L'indice! Entends-je déjà crier par la communauté du Blog appétit!

    Alors, je ne vais pas faire languir plus longtemps!

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    Sinon, on n'a pas fait que manger du Munster tout le week-end, évidemment! On a dégusté un certain nombre de vins, bien sûr! De magnifiques vins de domaines hautement recommandables, majoritairement bio ou biodynamiques, comme le fromage! Comptes-rendus à venir, pour ceux que ça intéresse, mais comme je n'ai même pas encore réussi à finir le Valais et que je pars bientôt en Vendée et à Bordeaux...! Chienne de vie de passionné du vin, tiens! Esclave du clavier, plutôt!

    Olif