Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Boire le Calice jusqu'à la lie...

... et boire la lie ensuite, même s'il n'y en a pas.

IMGP6175.JPG

Un vin de table en marbre qui ne devrait laisser personne de marbre. Millésime 2007. Du fruit qui croque, droit et rectiligne, charnu, frais, évident mais gourmand.

Jean-Philippe Padié est un vigneron pervers, de nous contraindre à boire le Calice jusqu'à la lie. Et d'en redemander!

Une tentation de Saint-Antoine!

Olif

Retrouvez aussi les Dégustantanés sur le Blog de la Pipette.

Commentaires

  • Ah calice! c'est juteux et charnu, il m'emmène au pays des merveilles!

  • Je ne vais pas ajouter de jeu de mots, mais préciser que le 2006 est "moins beaujolais", une comparaison s'impose ; si tu lis ces lignes Jean-Phi, ne t'arrache pas les cheveux...

  • Je suis tout à fait d'accord avec toi Lolo. Vive le "bojo" (au mettre titre que les Adrès). Concernant mon système capillaire tu as mis le doigt (le bon, avec la cagoulle en ces temps hivernaux) sur une réalité que j'assume. Je mettrais ça sur le dos de la tramontane qui emporte tout sur son passage.

  • Vin de Pays des Côtes Catalanes : Domaine Jean-Philippe Padié « Calice » 2006 - 13,5°
    (100% Carignan)
    DS12,5 - LG12 - PR13,5 - MS13 - MF13
    Difficile d'imaginer le cépage (on pense plutôt à Fer-Servadou ou Malbec).
    Expression très acide, peu plaisante.

    Bouteille défectueuse ?

  • On rêve même d'un label de Calice

  • Calice ? voila qui aurait pu faire un joli nom décalé pour une cuvée de Christophe ...Abbet.

    Laurent

  • Vin de Pays des Côtes Catalanes : Jean-Philippe Padié « Fleur de Cailloux » 2007 – 22/10/09
    (50% Grenache Blanc, 30% Grenache Gris, 20% Maccabeu)
    DS13,5 - LG12,5 - PR12,5 - EG13
    Robe pâle.
    Style "contré" semblant vouloir s'affranchir du climat, me désignant sans coup férir (je suis bien d'accord avec ton analyse, Philippe) un vin de Gauby. Notes ténues de bois, de bière blanche, de cidre, de granny-smith.
    Bouche à l'avenant, assez ferme, acide. Sensation de peau de raisin. En plus désagréable, impression de sous-maturité, de verjus. On devine en sous-jacence les caractéristiques corsées du grenache. Décidément, ce genre de vin ne me plaît pas du tout. Je le trouve forcé et manquant cruellement de sensualité. Du piège de la fraîcheur à tout prix.

  • Ton commentaire serait plus à sa place à la suite de ce post, Laurent:
    http://www.leblogdolif.com/archive/2009/05/26/re-ve-vin-2009-tout-l-or-du-roussillon.html

    Ben moi, à l'aveugle, j'ai noté ***(*). Roussillon frais? J'aime bien ce style de vin oxymoral! Pas piègeux du tout!

  • Merci, Olif,

    Pris le 1er lien remonté par ton outil de recherche.

    J'ai hâte de voir comment évolue la production de mon ami Rémy Péddréno, au Roc d'Anglade, lui qui cherche obstinément la fraîcheur ...

    Pourquoi oxymoral ?

  • Oxymorale, la fraicheur roussillonne? Ben oui, non? Le vieil archétype du vin blanc du Roussillon, ce n'est pas "lourd et alcooleux"? J'aime bien que ces blancs-là développent de la fraicheur! J'aime bien le tranchant du maccabeu, la minéralité du grenache blanc, la puissance du grenache gris, vinifiés selon cette "nouvelle mode"!

  • Philippe Ricard nous concocte une série de (j'espère pléonasmiques) blancs frais du LR (il y aura Padié en Milouise aussi, Les Eminades, La Madura, Clos du Gravillas, ).

    Préféré Laguerre le Ciste 2006 (moins aigu, plus gourmand/goûteux), Mas Jullien (superbe 2007), Loic Roure Domaine du Possible Cours toujours 2004, Mas Crémat grenache VV, Argile de la Rectorie, Domaine de la Garance Claviers ...

Les commentaires sont fermés.